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FRAM - Georges DESMET (né à Meulan) | sergent et Clairon au 131e RI

7 octobre 1915 souvenir d'amitié le capitaine laurent au sergt Desmet

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Françoise MAILLOT

DATE

-

LANGUAGE

und

ITEMS

8

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/3b195c76882efe1cf685d891ca24fe32

Type

Story

Language

und

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Françoise MAILLOT | europeana19141918:agent/3b195c76882efe1cf685d891ca24fe32

Created

2019-09-11T08:43:47.183Z
2020-02-25T08:48:42.392Z
2014-01-27 13:27:57 UTC
2014-01-27 13:29:32 UTC
2014-01-27 13:30:55 UTC
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2014-01-27 13:37:26 UTC
2014-01-27 13:38:13 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_12420

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FRAM - Gustave Boiron | sergent au 131e régiment d’infanterie

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1-3. Photographies de Gustave Boiron (s.d.). 4. Lettre (7 août 1914). 5. Lettre (28 août 1914). 6. Lettre (24 décembre 1914). 7. Lettre (18 juillet 1915). 8. Lettre retranscrite par son épouse, relatant les circonstances de ses blessures (23 février 1915). || Gustave Boiron, le grand-père du contributeur, est né le 18 août 1890 à La Trémouille dans la Vienne. Il exerce la profession d’électricien ajusteur. Il se marie le 1er août 1914 avec Emilie Moraux à Paris, tout juste avant d’être mobilisé le 3 août. Sergent au 131e régiment d’infanterie, il est présent sur le front en forêt d'Argonne, à Ville-sur-Couzance, en forêt de Hesse, à Neuvilly, à Bourceuilles, à Jubécourt et aux Islettes. Il est blessé par balle le 20 février 1915. Il recevra à cette occasion la croix de guerre avec étoile d’argent. Après une convalescence à l’hôpital de complément de Montchanin-lès-Mines (Saône-et-Loire) de février à juin 1915, il est démobilisé le 10 novembre 1915. Il travaille jusqu’à la fin de la guerre comme ouvrier aux aciéries de la marine à Saint-Chamond (Rhône-Alpes). D’août 1914 à octobre 1915, il échange une volumineuse correspondance avec son épouse dans laquelle il relate avec détails son quotidien. Par ailleurs, cette dernière prends soin de retranscrire sur un cahier le texte de l'ensemble des courriers envoyés par son cher Gustave. || || Photograph || Photographie de Gustave Boiron (s.d.). || || Photographie de Gustave Boiron (s.d.). || Photograph || || Photographie de groupe (Gustave Boiron est debout, 5e à partir de la droite)(s.d.). || Photograph || || Letter || Lettre (7 août 1914). || || Lettre (7 août 1914). || Letter || || Letter || Lettre (28 août 1914). || || Letter || Lettre (28 août 1914). || || Letter || Lettre (24 décembre 1914). || || Letter || Lettre (24 décembre 1914). || || Letter || Lettre (24 décembre 1914). || || Letter || Lettre (18 juillet 1915). || || Lettre (18 juillet 1915). || Letter || || Letter || Lettre retranscrite par son épouse (23 février 1915). || || Letter || Lettre retranscrite par son épouse (23 février 1915). || || Lettre retranscrite par son épouse (23 février 1915). || Letter || || Letter || Lettre retranscrite par son épouse (23 février 1915). || || Letter || Lettre retranscrite par son épouse (23 février 1915). || || Letter || Lettre retranscrite par son épouse (23 février 1915).

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FRAM - Jean Mathurin Josso | sergent au 269e RI

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Jean Mathurin Josso est né le 12 février 1890 à Moréac (Morbihan). Il a fait partie du 269e régiment d'infanterie, avec le grade de sergent.Il reçut quelques médailles, notamment la croix de guerre. Il décède le 7 juin 1915 à l'hôpital auxiliaire d'Amiens, des suites d'une blessure de guerre, à 25 ans.

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Victor BRETAUDEAU | sergent mitrailleur au 32ème RI

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Photographie de Victor Bretaudeau, 1918. Photographie de Victor et Louis, les deux fils de Victor Bretaudeau. Lettres extraites de la correspondance de Victor Bretaudeau avec son épouse Célestine de 1914 à 1918. Correspondance de Victor Bretaudeau avec ses deux fils, 1915-1918 et sans date. Correspondance reçue par son épouse Célestine après la mort de son époux, 1918-1919. || Né le 17 juin 1883 à Montigné (Maine-et-Loire), Victor Bretaudeau effectue son service militaire au 20ème bataillon de chasseurs à pied. Il est rendu à la vie civile en juillet 1907 avec le grade de caporal. Lorsque survient la guerre, il est marié à Célestine et père de deux enfants Victor et Louis âgés de 4 et 2 ans. Il exerce la profession de facteur rural depuis novembre 1913 et s'est installé à Brissac. En août 1914, il est affecté au dépôt du 135ème régiment d'infanterie d'Angers. Dès lors il entame une correspondance suivie avec son épouse Célestine à travers laquelle s'exprime l'état d'esprit du soldat en campagne. En février 1915, il suit des cours au centre de mitrailleurs de Poitiers puis début juin 1915, il rejoint le 32ème RI dans la région d'Arras. De 1916 à 1918, le régiment combat à Verdun, en Champagne, dans la Somme, l'Aisne, en Lorraine et en Picardie. Il est mort pour la France le 6 ami 1918 à Mailly-Raineval (Somme). Le 29 mai 1918, le sergent major Jardat de la 6ème Cie du 32ème RI écrit à son épouse il a été tué le pauvre au moment où il sommeillait (dans la tranchée) par un obus allemand. Il est passé de vie à trépas sans aucune souffrance. Son corps a été mis en bière. Il repose maintenant en paix dans le cimetière de Guyencourt (près d'Ailly-sur-Noye). Les hommes de sa section, tous les sous-officiers et officiers ont tenu à l'accompagner à sa dernière demeure et c'est le coeur bien gros que tous nous avons quitté sa tombe et j'ai vu pour ma part plus d'un brave homme pleurer en silence. Victor Bretaudeau n'a pas su que Célestine attendait un troisième enfant qui naîtra huit mois après sa mort.

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