FRAM - Frédéric LELIEVRE | soldat dans l'infanterie coloniale.
C'est la fille de M. Lelièvre qui nous a apporté avec beaucoup d'émotion les documents ayant appartenu à son père. M. Lelièvre est né le 13 mars 1890 en Mayenne. Il a fait partie de l'infanterie coloniale au 21e puis 53e régiment avec les tirailleurs sénégalais. Il a servit du 2 aout 1914 au 6 aout 1919. Il a été clairon. Il a été grièvement blessé en septembre 1915. Il a été gazé et s'était accroché à un arbre. Il avait des éclats d'obus jusque dans les poumons. Ses compagnons d'arme l'ont ramené du champs de bataille pour qu'il puisse se faire soigner mais il a craché du sang jusqu'en 1933. Sa fille se souvient très bien de sa grande cicatrice qui allait du bras jusqu'aux poumons. M. Lelièvre s'est marié en 1915 lors de sa convalescence. Après la guerre, il est devenu chauffeur de taxi et habitait à Oinville-sur-Montcient.
CONTRIBUTOR
Simone BOULIN
DATE
-
LANGUAGE
und
ITEMS
7
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAM - Auguste Jeandon | de Lapoutroie (68) | dans l'infanterie allemande
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Auguste Jeandon (* 15 mai 1881 à Lapoutroie (Haut-Rhin) est le grand père maternel de la contributrice, Mme Ghislaine Combier. Il a épousé Marie Antoine (* 4 mai 1880 à Orbey (Haut-Rhin) le 4 mai 1906 à Lapoutroie. Ils ont eu trois enfants Maria (* 1908, mère de la contributrice), Paul (* 1910) et Adrienne (* 1916). Comme tous les Alsaciens, Auguste Jeandon fait son service militaire dans l'armée impériale. Le 15 octobre 1915, il est affecté au 2e bataillon de réserve du 99e régiment d'infanterie. Il passe ses premiers mois de guerre entre Kehl et Neumühl (Pays de Bade). Le 3 décembre 1915, il part pour le Ban de Sapt dans les Vosges. Après un bref retour en Pays de Bade, il repart sur le front ouest en février 1916. Après un premier cantonnement à Eton (Meuse), sa compagnie est envoyée à Etain (Meuse) où Auguste Jeandon va connaître le baptême du feu. Le 15 juin 1917, la compagnie d'Auguste Jeandon est envoyée sur le front de l'est et rattachée au Landsturm Infanterie Regiment 21. Auguste Jeandon est démobilisé le 11 novembre 1918. Le fonds Jeandon est particulièrement intéressant, car il comprend de nombreuses cartes postales échangées entre Auguste Jeandon et sa femme ainsi que des membres de sa famille, ainsi qu'un journal dont les premières pages ont malheureusement été gommées par des enfants après guerre. Originaire du Pays welsche, Jeandon écrit de temps en temps en français et cela ne semble pas avoir eu de conséquences pour lui. Son journal est en français. || Cartres postales, journal.
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Henri Lecacheur était soldat dans la 12ème compagnie du 22ème régiment territorial d'infanterie. Il est blessé en 1915 et est interné à l'Hôpital de Vitry-le-François. Il obtient une citation avec la croix militaire avec palme ainsi que la médaille militaire. || documents, carte postale, photographie.
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Martial-Léon Chauvier, tapissier de métier, est appelé le 8 octobre 1913 et arrive au 172e RI, comme soldat de 2ème classe. Il y reste jusqu'au 8 octobre 1916, date à laquelle, il est affecté au 171e RI. A partir du 24 janvier 1917, il intègre le 4e régiment d'infanterie coloniale, puis le 7e Bataillon Tirailleur et Mitrailleur Indo-Chinois, ce jusqu'à sa démobilisation le 26 août 1919. La citation à l'ordre du 38e RI colonial le 30 mars 1917, le dit on soldat, qui s'est très bien comporté au cours des combats auxquels il a prit part en Alsace, en Argonne et sur la Meuse. Il est évacué deux fois du front français pour maladie: une première fois le 30 mars 1916, pour angine, à hôpital de Châlons-sur-Marne puis pour appendicite, le 5 mai 1916 et évacué à l'hôpital de Dax. Il est ensuite rapatrié de Salonique pour cause de paludisme. || Carnet de travail (tapissier) dans lequel il a noté son parcours militaire, photos, cartes postales, fascicule du 38 RI, feuille de route.