Transcribe

FRAM - Joseph Carré | prisonnier de guerre

Journal de captivité de Joseph Carré. A la fin du carnet, quelques chansons.
Mon arrière grand-père paternel, Joseph Carré est né à Plouay (Morbihan)le 18 mars 1886, et est décédé en 1955 à Calan. Cultivateur à Calan, il est recruté à Lorient et mobilisé en 1914. Il est fait prisonnier par les Allemands de mai à novembre 1918. Sur le paquebot Lutécia qui le ramène en France, il écrit sur ses jours passés en captivité.

Show More
 
 
 
 

CONTRIBUTOR

Amélie Carré

DATE

1918-05-27 - 1918-12-25

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

Generating story statistics and calculating story completion status!

METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/e7459b40a08b63fdd7f12a1db5a94247

Date

1918-12-25
1918-05-27

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1918-05-27

End

1918-12-25

Language

mul

Agent

Joseph Carré | europeana19141918:agent/dd418a1647263b7e3323b1870b058e9c
Amélie Carré | europeana19141918:agent/e7459b40a08b63fdd7f12a1db5a94247

Created

2019-09-11T08:31:55.096Z
2020-02-25T08:34:11.287Z
2020-02-25T08:34:11.288Z
2013-12-12 16:19:36 UTC
2013-12-17 10:28:31 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11072

Discover Similar Stories

 
 
 
 

FRAM - Joseph Mounier | Pierre Carré et Marie-Ange Carré

1 Item

Photographies et documents de Joseph Mounier (livret militaire, attribution de la médaille militaire, médailles, carte de membre de l'association des mutilés de guerre, documents de pension d'invalidité, carte d'invalidité et carte du combattant) Photographies de Pierre Carré Etat de service de Marie-Ange Carré || Joseph Mounier , mon grand-père maternel est né 21 janvier 1891 à Saint-Brieuc (Côte d'Armor). Vendeur de coiffes il est mobilisé le 1er août 1914 au 48è régiment d'infanterie. Un éclat d'obus lui fracture les os du bras droit, le 26 avril 1915. Il est hospitalisé à Ancenis. Pierre Carré est né le 20 mai 1898 à Guingamp (Côte d'Armor). Il est mort de la grippe espagnole le 13 octobre 1918. Marie-Ange Carré est né le 4 février 1881 à Guingamp (Côte-d'Armor). Engagé volontaire, il est incorporé au 2è dépôt des équipages de la Flotte. Il restera dans l'armée jusqu'en 1940. Il obtient plusieurs médailles : médaille militaire, médaille coloniale, commémorative, interalliée, chevalier à l'ordre du Dragon de l'Annam, chevalier de la légion d'honneur et chevalier à l'ordre de l'étoile noire.

Go to:
 
 
 
 

FRAM - Journal de guerre de Jean Carré

17 Items

Journal de Jean Carré Coupure de presse avec la lettre de Jean Carré, adressé au Colonel Treillard, publiée dans le journal Le Petit Parisein le 8 juillet 1917 || Jean Corentin Carré, né au Faouët (Morbihan), le 9 janvier 1900. Le 27 avril 1915, il s'engage à 15 ans au 41è régiment d'infanterie. Il arrive au front à 15 ans et 6 mois et est affecté au 410 régiment d'infanterie. Chef de section à 17 ans, il gagne les grades de caporal, sergent et adjudant, des citations à la division, au corps d'armée et à l'armée. Il trouve la mort en combat aérien à 18 ans et 3 mois, le 18 mars 1918. Il est le plus jeune mort pour la France du Faouët. Afin de pouvoir s'engager, il s'invente une identité. Il s'appelle alors Auguste Duthoy, né à Rumigny (Ardennes), le 10 avril 1897. Le 29 décembre 1916, du fond des tranchées, il écrit une lettre au Colonel Treillard, commandant du 410è régiment d'infanterie. Il demande à reprendre son identité, sans pour autant quitter le front. Ce journal est conservé au collège Jean Carré du Faouët, inauguré en 1978.

Go to:
 
 
 
 

FRAM - Louis Lucas | prisonnier de guerre

1 Item

Louis Lucas, mon grand-père, né le 14 avril 1889 à Inguiniel (Morbihan) était militaire de carrière, adjudant au 62è régiment d'infanterie de Lorient, 5è compagnie. Fait prisonnier, il est envoyé au camp de Langensalza en Allemagne. Lors de la bataille des 22 et 23 août 1914 à Maissin au Luxembourg, beaucoup de soldats bretons et vendéens, composant le 11e corps d'armée, ont perdu la vie. Les gens du village ont alors récupéré les livrets militaires des soldats, mort ou non (c'est le cas de Louis Lucas qui est revenu de la guerre) et les ont confiés au curé. Il les cacha, mais ne put dévoiler son secret, puisqu'il mourut lors de l'occupation allemande. Ce n'est qu’en 1960, lors de la restauration du presbytère, qu'une malle contenant 430 livrets fut découverte. Ils sont confiés au journal Ouest-France, qui se charge de les rendre aux familles. || Portrait, photographies, cartes postales, livret militaire, coupure de presse du Ouest-France, lettre du rédacteur en chef du journal Le Ouest-France adressée à sa veuve en 1961.

Go to: