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Léon Fernand Leméré à l'hôpital en 1918

Photographie représentant Léon Fernand Leméré à l'hôpital au milieu d'un groupe de soldats et d'infirmière, en plein air.

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CONTRIBUTOR

Bibliothèque municipale de Lille

DATE

1918

LANGUAGE

und

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/1e0b2e06d0d48b25234f041b5753b805

Date

1918

Type

Photograph

Language

und

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1918

End

1918

Language

mul

Agent

Bibliothèque municipale de Lille | europeana19141918:agent/1e0b2e06d0d48b25234f041b5753b805

Created

2019-09-11T08:35:12.320Z
2020-02-25T08:40:53.566Z
2013-12-13 16:10:57 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

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FRBMLI-047 Carnets de mon arrière-grand-père | Léon Fernand Lemeré

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Mon arrière-grand-père, Léon Fernand Leméré, était soldat au 245e régiment d'infanterie 18e compagnie et fut mobilisé le 5 août 1914. A l'époque, il était domicilié rue Saint-Louis en l'Ile à Paris. Marié en 1912, il avait une petite fille, Marcelle (ma grand-mère) née en septembre 1913 : c'est la seule enfant du couple qui ait survécu, deux jumeaux nés en septembre 1916 sont morts peu de temps après leur naissance. Il a fait toute la guerre : les Ardennes, l'Alsace, la Lorraine et Verdun. Il évoque son premier Noël, le 25 décembre 1914 à La Neuvilette près de Reims, les chansons des allemands dans la tranchée d'en face durant la nuit de Noël et la rencontre au petit matin de 3 Allemands et 3 Français qui s'achève paisiblement sur un entretien intime. Il relate à plusieurs reprises le front de Verdun (1916 et 1917). Il a été blessé le 31 mai 1918 et soigné dans l'hôpital de Vitry-le-François. Miraculeusement, la boîte métallique dans laquelle il conservait son tabac l'a préservé d'une blessure plus grave : un éclat d'obus a traversé la fameuse boîte sans le tuer ; il l'a conservée en souvenir et nous l'a transmise. Il a été démobilisé au début de l'été 1919 seulement. Lien familial : il s'agit de mon aïeul du côté paternel et je l'ai connu entre 1971 et 1979. Je ne connais son histoire qu'à travers les carnets et la correspondance qu'il a laissés, car nous habitions dans le Pas-de-Calais et lui à Paris, donc nous nous voyions rarement. Il était très conservateur et gardait toute sorte de documents qui lui semblaient importants (le journal du jour de l'Armistice par exemple). Je n'ai pratiquement aucun souvenir de récits, mais je me souviens qu'il imitait le roulement de tambour avec son pouce contre la porte. Lors de son décès, nous avons recueilli ces documents dans son appartement et nous les avons conservés. || 4 carnets de guerre tenus de 1914 à 1917 (manque l'année 1918 annoncée, mais perdue) par Léon Fernand Lemeré contenant son journal, la liste de la correspondance envoyée et reçue, les dépenses, des chansons et des notes. Une bague en aluminium avec le portrait enchâssé de sa fille, Marcelle (ma grand-mère) née en septembre 1913. Photographies de Fernand Lemeré.

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Carnet N°4 de mon arrière-grand-père Léon Fernand Leméré

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Jean-Marie Le Bonhomme à l'hôpital militaire en 1916

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Le lieutenant Le Bonhomme est au premier rang, deuxième en partant de la droite. Il a été blessé au bras gauche le 26 mai 1916 alors qu'il se trouvait à son poste de commandement. Il porte épinglée sur sa poitrine sa médaille de la Légion d'honneur.

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