Amédé Fleury photographe de la Grande Guerre - 1915
32 photographies annotées:
09-juillet 1915 - Camp de Rosnay, tranchée de la Meule.
09-août 1915 - Reims, Pontavert, Cauroy.
09-octobre, novembre 1915 - Hermonville, pont de Sapignol, Cauroy.
09-décembre 1915 - Cauroy, Tranchées du Bois Charpentier et du Luxembourg.
Annette Bon, contributrice, vient de la part de Marie-Madeleine Fleury (née en 1923), fille unique d'Amédé Fleury (décembre 1887 à Lomme (Nord)-juillet 1966).
Amédé Fleury était instituteur à l' Ecole Michelet. Il passait ses permissions au Carmel de Compiègne en compagnie de sa tante. Il était sergent au 43ème de ligne. En tant qu'instituteur, il devient vaguemestre. Il écrit aussi pour les autres soldats. Il a un appareil photographique avec lequel il a photographié sa guerre ; il développe ses photographies et mentionne au verso de chacune les dates, les lieux, les personnages et les évènements auxquels elles se réfèrent comme un journal de bord de 1914 à 1919. Il est en zone occupée (Lille et Lomme). Certaines de ses photographies lui servent comme support de correspondance avec sa femme, Marie-Madeleine Fleury.
09-juillet 1915 - Camp de Rosnay, tranchée de la Meule.
4 photographies annotées : Le concert, Un avion au Camp de Rosnay, Observatoire de la tranchée La Meule à Cauroy. Chaque photographie est annotée, datée et les noms des personnages photographiés sont reportés. Souvenir de l'adjudant Faure. Les deux dernières photographies présentent des trous de punaise.
09-août 1915 - Reims, Pontavert, Cauroy.
5 photographies annotées : Cathédrale de Reims, l'église d'Ambléry, le bureau et les tampons, la tranchée de la Meule.
09-octobre, novembre 1915 - Hermonville, pont de Sapignol, Cauroy.
9 photographies annotées : photographies d'hommes et d'amitié dont l'adjudant Faure, Amédé Fleury, le bureau et de son personnel autour d'une bouteille à Cauroy dans la tranchées du Luxembourg ; du pont de Sapignol détruit, du cimetière de Cauroy et de son entretien.
09-décembre 1915 - Cauroy, Tranchées du Bois Charpentier et du Luxembourg.
14 photographies annotées : une photographie d'une opération fictive envoyée à Amédé par son frère Gaston, portrait d'Amédé en pied qu'il envoie à son frère, sa mère et sa marraine, prises de vues du champ de bataille, un exercice au gaz, des amis, prise de vue de la tranchée du Luxembourg avec les soldats en touloupe,
otre cuisine roulante.
CONTRIBUTOR
Bibliothèque nationale de France
Bussy-saint-Georges
2
DATE
1915
LANGUAGE
fra
ITEMS
64
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
Amédé Fleury photographe de la Grande Guerre
14 Items
Annette Bon, contributrice, vient de la part de Marie-Madeleine Fleury (née en 1923), fille unique d'Amédé Fleury (décembre 1887 à Lomme (Nord)-juillet 1966). Amédé Fleury était instituteur à l' Ecole Michelet. Il passait ses permissions au Carmel de Compiègne en compagnie de sa tante. Il était sergent au 43ème de ligne. En tant qu'instituteur, il devient vaguemestre. Il écrit aussi pour les autres soldats. Il a un appareil photographique avec lequel il a photographié sa guerre ; il développe ses photographies et mentionne au verso de chacune les dates, les lieux, les personnages et les évènements auxquels elles se réfèrent comme un journal de bord de 1914 à 1919. Il est en zone occupée (Lille et Lomme). Certaines de ses photographies lui servent comme support de correspondance avec sa femme, Marie-Madeleine Fleury. 01-Photo de groupe (8 mars 1919) Amédé Fleury est le 2ème en haut à gauche. Photo prise par Amédé Fleury avec un retardateur, car il pose sur la photo (1er en haut à gauche) ; la photo est prise à Gisheim (près de Mainz-Mayence, à côté du Rhin en Allemagne) le 8 mars 1919, pendant l'occupation. La photo est signée au recto A. Fleury, et datée du 8.3.1919, à l'encre noire. Au verso, tous les protagonistes sont répertoriés par leur grade et leur nom, et, entre parenthèses, leur ville d'origine (Lille pour Amédé Fleury, par exemple). Le titre de la photo est Avant la libération-Pendant l'occupation. 02-Photo portrait d'Amédé Fleury (1915) envoyé à son père. Photo envoyée à son père par Amédé Fleury en décembre 1915, de l'église de Cauroy dans les Ardennes : A mon père ! Son garçon. Amédé Fleury a 28 ans. 03-Photo portrait d'Amédé Fleury (1916) envoyé à sa soeur, Valentine. Photo portrait d'Amédé Fleury envoyé à sa soeur, Valentine, en mai 1916. La photo montre Amédé Fleury devant son gourbi ; il rassure sa soeur en lui expliquant qu'il est étayé pour éviter les éboulements. Le texte de la carte nous renseigne sur le lieu Nous quartier de la source Crannelle, mais cette appellation ne correspond pas à un lieu géographique connu. 04-La Somme du 19/08 au 19/09/1916 ; Vie quotidienne dans les tranchées. Photo d'un campement à l'arrière (la tranchée du Bois Billot) ; Amédé Fleury raconte au verso le drame que les soldats subissent en raison des pluies diluviennes et de l'inconfort du campement : ... d'autres démerdarts ont pris une cuve en zinc et s'y sont installés. Notre souffrance fut énorme. L'eau malgré les imperméables coulait sur nos poitrines (...) Nous devons avoir une peau de rhinocéros!!\n 05-Photo Mon bureau... d'Amédé Fleury (février 1916). Amédé Fleury photographie son bureau en février 1916 ; il est accompagné de son ordonnance, Charrare, à sa droite. En arrière plan, on voit la ferme du Godat (située entre Cormicy et Loivre, près du canal de l'Aisne à la Marne, près de l'écluse du même nom), lieu âprement convoité et défendu de septembre 1914 à septembre 1917 (la ferme a aujourd'hui disparue). : Ce bureau qu'un 77 traverserait est l'objectif incessant des marmites... ; le 77 est un obus et les marmites sont des projectiles allemands (Minenwerfer) dont le poids et l'allure rappellent celles des marmites. 06-Photo d'Alexandre Meurisse, son beau-frère, instituteur comme lui, mort à côté d'Amédé Fleury en octobre 1914 à 20 ans. Alexandre Meurisse est le beau-frère d'Amédé Fleury ; il combatte ensemble. Alexandre Meurise meurt à ses côtés en octobre 1914 à l'âge de 20 ans. Il était instituteur comme Amédé Fleury. 07-Photo de la famille d'accueil d'Amédé Fleury lors de sa convalescence (septembre 1914). Photo de la famille qui accueilli Amédé Fleury lors de sa convalescence en septembre 1914 à Bazoche, à la sortie de Berry-au-Bac (Aisne ; Picardie) : Des amis (...) qui me considèrent comme leur fils. La photo montre M. et Mme Bréjét avec leur fils aîné, Albert, en convalescence et le petit René. || 7 photographies: 01-Photo de groupe (8 mars 1919) Amédé Fleury est le 2ème en haut à gauche. 02-Photo portrait d'Amédé Fleury (1915) envoyé à son père. 03-Photo portrait d'Amédé Fleury (1916) envoyé à sa soeur, Valentine. 04-La Somme du 19/08 au 19/09/1916 ; Vie quotidienne dans les tranchées. 05-Photo Mon bureau... d'Amédé Fleury (février 1916). 06-Photo d'Alexandre Meurisse, son beau-frère, instituteur comme lui, mort à côté d'Amédé Fleury en octobre 1914 à 20 ans. 07-Photo de la famille d'accueil d'Amédé Fleury lors de sa convalescence (septembre 1914).
Amédé Fleury photographe de la Grande Guerre - 1919
3 Items
13-1919 - Demande de nouvelles et Souvenir de Champagne. || Annette Bon, contributrice, vient de la part de Marie-Madeleine Fleury (née en 1923), fille unique d'Amédé Fleury (décembre 1887 à Lomme (Nord)-juillet 1966). Amédé Fleury était instituteur à l' Ecole Michelet. Il passait ses permissions au Carmel de Compiègne en compagnie de sa tante. Il était sergent au 43ème de ligne. En tant qu'instituteur, il devient vaguemestre. Il écrit aussi pour les autres soldats. Il a un appareil photographique avec lequel il a photographié sa guerre ; il développe ses photographies et mentionne au verso de chacune les dates, les lieux, les personnages et les évènements auxquels elles se réfèrent comme un journal de bord de 1914 à 1919. Il est en zone occupée (Lille et Lomme). Certaines de ses photographies lui servent comme support de correspondance avec sa femme, Marie-Madeleine Fleury. 13-1919 - Demande de nouvelles et Souvenir de Champagne. 2 cartes postales ; Carte postale datée du 13 juin 1919, envoyée par Marguerite de St Mard (Seine-et-Marne) à Amédé Fleury (secteur postal 143) : Elle demande de ses nouvelles avec inquiétude et attend une réponse ; Carte postale souvenir représentant un groupe 9 hommes en tenue militaire assis (4) autour d'une table pour déjeuner sous le couvert d'un arbre : sur le panneau devant la table, on peut lire (au centre) Campagne 1914-15, 26 août 1915, (de gauche à droite) 43ème Régiment d'Infanterie 6ème Cie, Un repas à 2km des boches, 17ème Escouade, 10 inséparables.
Amédé Fleury photographe de la Grande Guerre - 1916
392 Items
Annette Bon, contributrice, vient de la part de Marie-Madeleine Fleury (née en 1923), fille unique d'Amédé Fleury (décembre 1887 à Lomme (Nord)-juillet 1966). Amédé Fleury était instituteur à l' Ecole Michelet. Il passait ses permissions au Carmel de Compiègne en compagnie de sa tante. Il était sergent au 43ème de ligne. En tant qu'instituteur, il devient vaguemestre. Il écrit aussi pour les autres soldats. Il a un appareil photographique avec lequel il a photographié sa guerre ; il développe ses photographies et mentionne au verso de chacune les dates, les lieux, les personnages et les évènements auxquels elles se réfèrent comme un journal de bord de 1914 à 1919. Il est en zone occupée (Lille et Lomme). Certaines de ses photographies lui servent comme support de correspondance avec sa femme, Marie-Madeleine Fleury. 10-janvier 1916 - Le Godat, bois allongé. 6 photographies annotées : des hommes seuls ou en groupe et le bureau juste avant la chute de trois obus shrapnel. 10-février 1916 - La Source, Tranchée du Godat, bataille de Verdun. 30 photographies annotées et une carte postale : groupe d'hommes photographiés lors de la bataille de Verdun (Côte du Poivre), dans la tranchée de la Carrière (centre de résistance),à la Source, au Godat sur le Chemin des Dames, au Bois Allongé à Cauroy ; on retrouve la photo du bureau après la chute des obus (cf janvier 1916) ; le transport de la soupe par le ègre (l'ordonnance, le tampon) ; le coiffeur ; la toilette ; la chasse au perdreau (!) ; la tranchée des russes au Godat ; le bureau (vue sur le château du Godat) ; la route d'Aguilcourt ; l'aûmonier au château de Les Maretz ; Verdun ; une carte postale envoyée du Godat. 10-mars 1916 - Verdun, hôpital Sainte Catherine. 11 photographies annotées ; Verdun en ruines, l'incendie du château de Verdun fin mars, le nouveau bureau et l'hôpital Sainte Catherine hôpital ambulance avec une vue de la cathédrale, et l'obus qui est tombé dans la cour de l'hôpital à 6 mètres de moi. 10- avril 1916-Hôpital Sainte Catherine à Verdun 10 photographies annotées ; repos à l'hôpital Sainte Catherine après otre séjour à la Côte du Poivre ; C'est l'heure du thé. Nous avions des plumards !, les sous officiers dans le jardin de l'hôpital, M. et Mme Barbier à Blesme (Haute Marne) en compagnie des sous officiers, fin avril 1916. 10-mai, juin 1916 - Craonne quartier de la Source. 10-juillet 1916 - Craonnelle camps de Blanc Sablon et Beau Marais, marche de Craonnelle à Epernay. 56 photographies annotées ; Panorama de Craonnelle, ses barricades, un pont du Génie dur l'Aisne, son château, une chapelle érigée par les poilus, le sort des blessés et des morts, le cimetière, le camouflet (réplique d'un arbre en tôle servant d'observatoire), les batteries d'artillerie ; la vie dans les tranchées et les souterrains ; Amédé rencontre des amis d'enfance qui lui parle de son père ; 14 juillet 1916 : avant notre départ pour la Somme, on fête copieusement la France... ; photos de camarades ; la soupe et la cuisine ; l'adjudant Faure que l'on retrouve tout au long de la guerre ; la marche de Craonnelle à Epernay : la cuisine roulante et le cycliste, les pauses, la chaleur, les côtes, la poussière, l'inactivité des tranchées rendent pénibles la marche, la grande pause et la galtouse, l'entrée à Ville en Tardenois musique en tête, souvenir de Mareuil, embarquement pour la Somme dans un wagon à bestiaux ; bataille de la Somme, Maurepas, voilà ce qu'il reste de l'église. C'est l'entrée des fameux souterrains (...) meublées d'objets ayant appartenu aux civils...\n 10-août 1916 - Francastel, camp des Célestins ; la Somme. 20 photographies annotées ; les restes de la 6ème Cie... nous 5 nous sommes du départ. Les autres viennent de renforts ! Plus de 1200 hommes sont passés à la Cie. Nous les avons connus..., inspection de vivres de réserve (voir liste photo 2), inspection de pieds, exercices de vagues d'assaut dans un champ de blé ; le 15 août, entrevue avec Gaston ; rencontre avec des enfants ; Voici la dame d'un de mes amis Marcel Bertrand Caporal Cuistot à la 7ème Cie ;le bureau carrière route 44 Cauroy ; la section de l'adjudant Faure à Hermonville ; campement à la Ferme Beaufay ; le ravin d'Hardecourt. 10-septembre 1916 - Bataille de la Somme. 32 photographies annotées ; Maurepas : la corvée de soupe, les prisonniers boches !,la ferme de Priez, la gare anglaise entre la ferme Bronfay et Maricourt, ce petit, très petit dépôt de douilles donne une idée de ce que nos pièces d'artillerie tirent par jour ; la vue représente la maison où les boches avaient établi leur centre de résistance Le château de Maurepas\ ; l'église ; Faure au Bois Anderlu Le photographié et le photographe se sont pressés pour avoir cette vue, ne croyez pas qu'on y demeure des minutes !!! ; Tranchée de l'Hôpital ous recevons des dégelées d'obus. Peu d'abris (...)nous sommes 12 enterrés vivants et condamnés à une mort atroce ; Attaque du 29 septembre 1916, prise de Combles : Cette attaque coûta au régiment 6 à 700 hommes et une trentaine d'officiers, C'est avec mille difficultés que l'on trouve son chemin dans ces lieux inconnus, par des nuits obscures, Vue prise au risque de ma peau avant l'attaque, Kamarade s'ils avaient belle ! les pourceaux, nous empileraient tous !, Pendant l'attaque. Un poilu se cache derrière un arbre (...) photo prise du bois Anderlu - flou- vous devinez les circonstances !, Si sur le blé, il n'y a pas de cadavres, c'est que sitôt une accalmie, on les enterre dans les trous d'arbres. Une odeur pestilentielle vous prend par relents, Qui a pris Combles ? (...) Dans les journaux, dans l'écho de Paris, glorifie t-on tant le 75 et le 110ème Combles a été pris par le 1er Brigade et les Anglais !!, Un poilu ayant trouvé un casque boche ! C'est moi !, Un ami qui a été enseveli deux fois, Remarquez l'ami du poilu, son épouse Madame du Bidon de 2 litres (1 litre ne serait pas suffisant), A peine descendus au repos, lavés, rappropriés, reposés, réconfortés, toutes les misères passent dans l'ombre !\n 10-octobre 1916 - Champagne, Bois de la Chenille. 6 photographies annotées ; passerelle sur l'Aisne entre Maison bleue et Sapigneul ;Bombe boche (...) la nuit la fusée rouge la fait repérer -un froufroufroufroufrou se fait entendre durant son trajet ; Champagne, trous d'obus la guerre de mines est terrible, mais lente, laborieuse, coûteuse et sans grand résultat ; Tombe d'un soldat français tué et enterré par les Boches (bord du boyau boche Posen) ;Voici la tombe d'un aspirant allemand (...) Que de choses bizarres j'ai vues (...) une brasserie allemande (...) des coopératives où l'on trouve de tout... même des huîtres !\n 10-novembre 1916 - Villages de la Somme. 9 photographies annotées ; Retour sur des lieux occupés en janvier-février-mars 1915 par la Cie d'Amédé qui se souvient et qui commente les changements depuis leur départ : Laval sur Tourbe ; Mineaucourt ; La borne 16 à Beauséjour Nos anciens abris - Notre ancienne chapelle, Les boches l'appelaient : Tombeau des français ; Le ravitaillement du front - Le chemin de fer de 60 - le Tacco, le Decauville, le Tortillard (...) Il faut le voir gravissant les vallons, soufflant comme un phoque ! (...) c'est un asthmatic !. 10-décembre 1916 - Cauroy, Trou Bricot. 15 photographies annotées ; Une attaque française par gaz ; le masque à gaz ; Le champ de carnage au Trou Bricot (...) 250 à 300 hommes au moins peuvent se tenir sur le bord de l'entonnoir ; Débris humains apparaissant sur le champ de carnage du Trou Bricot (...) Spectacle affreux ! Destiné du fantassin !!, Perforé, retourné, renversé, le sol tortionné apparait avec sa blancheur éblouissante au soleil, tel une mer de glace, A chaque pas une petite croix s'élève du sol ! (...) Pas de tertre. Les corps ont été déchiquetés... la petite crois appelle nos coeurs à la prière pour l'âme immortelle des victimes ; poste d'écoute de Provence, butte de Souain ; Remise de décorations. || 195 photographies annotées: 10-janvier 1916 - Le Godat, bois allongé. 10-février 1916 - La Source, Tranchée du Godat, bataille de Verdun. 10-mars 1916 - Verdun, hôpital Sainte Catherine. 10- avril 1916-Hôpital Sainte Catherine à Verdun 10-mai, juin 1916 - Craonne quartier de la Source. 10-juillet 1916 - Craonnelle camps de Blanc Sablon et Beau Marais, marche de Craonnelle à Epernay. 10-août 1916 - Francastel, camp des Célestins ; la Somme. 10-septembre 1916 - Bataille de la Somme. 10-octobre 1916 - Champagne, Bois de la Chenille. 10-novembre 1916 - Villages de la Somme. 10-décembre 1916 - Cauroy, Trou Bricot.