FRAN_PA_217 Adrien Richer | le jour de la libération
- Lettres d'Adrien à son épouse Blanche.
Adrien Richer (1881-1955), a demandé à aller sur le front dans la cavalerie en 1914. Il appartenait au 11e régiment de DRAGONS.
Durant tout le conflit il écrit à son épouse Blanche Richer, née Drocourt (1888-1973). Parmi ses lettres celle du 11 novembre 1918 relate le soulagement d'Adrien et de ses camarades.
CONTRIBUTOR
Agnès RICHER
DATE
- 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
4
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
FRAN_PA_217 Adrien Richer | le jour de la libération
8 Items
- Lettres d'Adrien à son épouse Blanche. || Adrien Richer (1881-1955), a demandé à aller sur le front dans la cavalerie en 1914. Il appartenait au 11e régiment de DRAGONS. Durant tout le conflit il écrit à son épouse Blanche Richer, née Drocourt (1888-1973). Parmi ses lettres celle du 11 novembre 1918 relate le soulagement d'Adrien et de ses camarades.
La guerre 14-18 de mon grand-oncle Jean-Pierre au jour le jour
13 Items
Petit carnet, assez endommagé, transcrit pour pouvoir le lire || Jour après jour, Jean-Pierre notait les faits de ses journées quand il le pouvait. De Paris à Nancy en passant par Reims, Epernay, Bar sur Aube, le régiemnt faisait souvent la route à pied, de nuit pour éviter la chaleur ou ne pas se faire repérer.
Le jour de l'armistice à Lyon | un peu avant | un peu après aussi
12 Items
Lucie NOIRCLERC (1895-1962) est d'ascendance alsacienne et lorraine mais elle est née et a vécu à Lyon (France). C'est ma grand tante (une des sœurs de mon grand-père maternel Pierre NOIRCLERC). Elle a 23 ans en novembre 1918. Elle écrit très régulièrement à son père malade, alors en cure à Nice. Ma famille a conservé trois de ses lettres qui racontent les prémices (vendredi 8 novembre), le jour de l'armistice (lundi 11 novembre) et le premier dimanche suivant (dimanche 17 novembre). Le 8 novembre, elle rapporte notamment être allée au Progrès, le quotidien lyonnais, où règne l'effervescence. Elle parle aussi de son frère Jean, brigadier au front, et de l'un des camarades de celui-ci, Caron, savoyard et simple canonnier. Le 11 novembre, c'est l'Alsacienne qui parle Moser ! c'est fait !. A Lyon les cloches et le canon ont sonné, les bureaux de poste sont pris d'assaut. Le 17 novembre est le 1er dimanche de paix depuis 4 ans. L'appartement de la rue Vauban est pavoisé aux couleurs de l'Alsace, le déjeuner, les visiteurs et le costume que porte Lucie sont alsaciens. || Lettre manuscrite du 8 novembre 1918. Lucie NOIRCLERC (Lyon) à son père Amédée NOIRCLERC (Nice) Lettre manuscrite du 11 novembre 1918. Lucie NOIRCLERC (Lyon) à son père Amédée NOIRCLERC (Nice) Lettre manuscrite du 17 novembre 1918. Lucie NOIRCLERC (Lyon) à son père Amédée NOIRCLERC (Nice)