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La vie après l'armistice

En Belgique, la famille hébergée chez les Tonnellier, fait part des difficultés d'approvisionnement.
Lettres manuscrite

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CONTRIBUTOR

TONNELLIER

DATE

/

LANGUAGE

fra

ITEMS

4

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/c08f3b034d8a816a0f298dd3cf98f0c6

Date

1918-12

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1918-12

End

1918-12

Language

mul

Agent

Veuve GUILLAUME | europeana19141918:agent/20b9d401e38021cd78384e6bbc5a82d5
TONNELLIER | europeana19141918:agent/c08f3b034d8a816a0f298dd3cf98f0c6

Created

2019-09-11T08:18:29.802Z
2019-09-11T08:18:29.774Z
2013-11-12 07:06:11 UTC
2013-11-12 07:08:26 UTC
2013-11-12 07:08:45 UTC
2013-11-12 07:09:03 UTC
2013-11-12 07:09:21 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_7827

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Lucie NOIRCLERC (1895-1962) est d'ascendance alsacienne et lorraine mais elle est née et a vécu à Lyon (France). C'est ma grand tante (une des sœurs de mon grand-père maternel Pierre NOIRCLERC). Elle a 23 ans en novembre 1918. Elle écrit très régulièrement à son père malade, alors en cure à Nice. Ma famille a conservé trois de ses lettres qui racontent les prémices (vendredi 8 novembre), le jour de l'armistice (lundi 11 novembre) et le premier dimanche suivant (dimanche 17 novembre). Le 8 novembre, elle rapporte notamment être allée au Progrès, le quotidien lyonnais, où règne l'effervescence. Elle parle aussi de son frère Jean, brigadier au front, et de l'un des camarades de celui-ci, Caron, savoyard et simple canonnier. Le 11 novembre, c'est l'Alsacienne qui parle Moser ! c'est fait !. A Lyon les cloches et le canon ont sonné, les bureaux de poste sont pris d'assaut. Le 17 novembre est le 1er dimanche de paix depuis 4 ans. L'appartement de la rue Vauban est pavoisé aux couleurs de l'Alsace, le déjeuner, les visiteurs et le costume que porte Lucie sont alsaciens. || Lettre manuscrite du 8 novembre 1918. Lucie NOIRCLERC (Lyon) à son père Amédée NOIRCLERC (Nice) Lettre manuscrite du 11 novembre 1918. Lucie NOIRCLERC (Lyon) à son père Amédée NOIRCLERC (Nice) Lettre manuscrite du 17 novembre 1918. Lucie NOIRCLERC (Lyon) à son père Amédée NOIRCLERC (Nice)

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La vie au quotidien

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Le texte est écrit sur un bristol découpé grossièrement au format d'une carte postale. Cette carte a certainement été envoyée sous enveloppe, hélas disparue. Il n'est donc pas possible de localiser ni l'expéditeur ni le destinataire. || Carte postale adressée à mon grand-père, lieutement d'artillerie, le 30 mars 1916. Le soldat qui s'adresse à lui expose les difficultés d'acheminement du courrier et parle des conditions de vie qu'il subit.

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